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    Compagnie aérienne

     Continental Airlines

     

    Pas de visa 

     Monnaie

    US Dollar

     

     

     

    Le voyage en avion avec la Continental Airlines est sur le point de se terminer. Après un passage à Newark aux Etats Unis, où il nous a fallu récupérer nos bagages avant de pouvoir reprendre le vol suivant..., nous sommes à présent dans le vol Newark/Quito.  

    L'arrivée à Quito se fait tard le soir. Par mesure de sécurité, afin de ne pas déambuler dans les rues de la ville en pleine nuit, nous avons réservé nos premières nuits d'hôtel à Quito, par internet depuis la France. 

    Après notre arrivée à l'hôtel,  une fois installées, fatiguées de notre voyage, nous ne tardons pas à nous endormir.

     La journée du lendemain se passe à prendre nos repères dans la ville. Notre hôtel est bien situé, à mi-chemin entre le Quito Colonial et le Quito Moderne, ce qui nous permet d'aller à l'un ou à l'autre à pied.

    Quito, capitale de l'Equateur, se déploie sur les pentes du volcan  Pichincha, à 2 850 mètres d'altitude. C'est la deuxième capitale la plus haute du monde après La Paz, en Bolivie.

    Nous commençons notre visite par le Quito Colonial, avec ses nombreuses ruelles étroites, pavées, et tous ses beaux monuments,

     

     

    et la continuons par le Quito Moderne, dont l'artère principale, très commerçante, est l'Avenida Amazonas. Deux mondes bien distincts, d'un côté le centre historique, pauvre, de l'autre les quartiers modernes et bourgeois. 

    Nous profitons de notre passage à Quito pour contacter Manuel et lui confirmer notre date d'arrivée à San Clemente. 

    Pukyu Pamba est une communauté indigène située à San Clemente, au pied du volcan Imbabura, non loin d'Ibarra. C'est là que nous avons prévu d'aller après notre séjour à Quito. 

    Le lendemain, nous allons donc à la gare routière de Quito afin de prendre un bus pour nous rendre à destination.

    Ce qui nous a vraiment surprises en Equateur, c'est la facilité avec laquelle on peut se déplacer en bus. Dans la plupart des cas, à peine arrivées dans les gares routières, nous trouvions toujours un bus en partance pour la destination qui nous intéressait. 

    Après un passage à Ibarra, nous voici en route pour San Clemente. Laura, l'épouse de Manuel, ainsi que sa fille, sont là à nous attendre à notre arrivée. Nous allons séjourner chez eux pendant plusieurs jours.  

     

    Cet endroit est très agréable. La vue sur Ibarra est superbe. Nous passons les jours suivants à visiter les environs, la communauté indigène, la famille de Laura, l'école du village, ainsi qu'à participer aux activités de la maison. 

    Nous organisons également une randonnée au sommet du volcan Imbabura à 4 630 mètres d'altitude en compagnie du fils et du frère de Laura ; première ascension difficile car nous ne sommes pas encore bien acclimatées à l'altitude.

     

    Mais il est temps pour nous de prendre congé de nos hôtes, après ce séjour agréable.

    Notre prochaine étape est Otavalo et son célèbre marché hebdomadaire. Nous avons prévu d'y arriver ce jour là.

    En une heure de bus depuis Ibarra, nous sommes sur place. Le temps de trouver un hôtel, et nous partons nous promener dans la ville. 

    Le marché d'Otavalo, magnifique, est un des marchés les plus réputés d'Equateur, mais c'est également un des plus touristiques. C'est le lieu de rendez-vous de tous les indiens Otavalos, vêtus de superbes costumes.   

     

    Nous passons la journée à déambuler dans les rues de la ville qui sont tout autant des lieux de spectacles pour nous, que la "Place des Ponchos" où se tient une grande partie du marché. 

    Le lendemain, nous reprenons notre route : direction Latacunga. Comme d'habitude, aucun problème, nous trouvons des bus très rapidement. 

    La route qui mène à Latacunga depuis Quito est superbe. Surnommée la "route des volcans", elle traverse une plaine dominée par 6 ou 7 volcans. 

    A notre arrivée à Latacunga, après nous être installées à l'hôtel, nous partons à la recherche de Nestor Cueva, guide de la région, qui nous a été conseillé. Nous le trouvons  chez lui, et décidons donc de partir en sa compagnie  pour le parc national du Cotopaxi. 

    Le Cotopaxi, d'une altitude de 5 900 mètres, est un des volcans les plus actifs d'Equateur. 

    Le lendemain matin, après un solide petit déjeuner pris au domicile de Nestor, nous partons. La route n'est pas très longue pour aller au parc. Nestor en profite pour nous donner toutes sortes d'informations sur la région ainsi que le Cotopaxi.

    Nous sommes désormais dans le parc. Il fait très beau, et nous commençons à avoir de très belles vues sur le Cotopaxi ainsi que sur ses glaciers. Il est vraiment magnifique. Nous ne nous lassons pas de le regarder. 

     

     

    Nous continuons à pied jusqu'au refuge José Ribas, à 4 800 mètres d'altitude. Après nous y être restaurées, nous poursuivons notre marche jusqu'aux glaciers un peu plus haut. C'est une période de l'année où il y a toujours beaucoup de vent, le sol est meuble (sable volcanique), cela ne facilite pas notre progression, déjà difficile compte tenu de l'altitude à laquelle nous sommes. 

    C'est avec regret que nous quittons le Cotopaxi ; encore quelques photos sur le chemin du retour, et nous arrivons à Latacunga. 

    Les environs de Latacunga comptent un autre lieu à voir absolument : la lagune de Quilotoa. Nous prévoyons d'y passer la nuit. 

    Le lendemain, nous préparons un petit "paquetage" (le reste de nos effets personnels restera à l'hôtel de Latacunga), et prenons le bus en direction de Zumbahua. Cette route, serpentant à travers montagnes et patchwork de cultures,  est superbe. Nous pouvons même apercevoir le Chimborazo, le plus haut volcan d'Equateur. 

    Arrivées à Zumbahua, nous trouvons de suite un pick-up pour nous amener à la lagune.

    Encore un endroit magnifique !!! La lagune de Quilotoa est un grand cratère rempli d'une eau turquoise, dont la profondeur n'a encore jamais été mesurée. C'est superbe et très sauvage. Nous restons là à la contempler pendant des heures. Un sentier permet de descendre au fond du cratère, au bord de l'eau.
     

     
    Nous passons la nuit dans les "Cabanas Quilotoa", logements sommaires construits au bord du cratère par les indiens. Auparavant, nous avions passé une très sympathique soirée autour de la table commune de l'auberge toute proche.

    La nuit est très fraîche. Nous avons, heureusement, prévu de quoi dormir au chaud.

    Le lendemain tôt, nous sommes à nouveau au bord du cratère. Il fait toujours aussi beau, et nous passons encore un bon moment à contempler ce superbe paysage.

    Mais il est temps de prendre la route du retour. Nous trouvons un transport pour nous ramener à Zumbahua ; il nous faut encore attendre un bus pour retourner à Latacunga.

    L'arrivée se fait en fin d'après-midi.

    Demain, jeudi, a lieu le marché de Saquisili, un marché réputé un des plus beaux d'Equateur, probablement plus authentique que celui d'Otavalo, car beaucoup moins touristique. Nous nous rendons donc, en bus, à Saquisili, à une trentaine de kilomètres de Latacunga.

    Ce marché, très coloré, est composé de différents petits marchés, dont chacun a une place bien déterminée dans la ville ; le spectacle est partout... là le marché aux bestiaux, là le marché aux légumes ...

     

     

     

     

     

     

     

    Retour à Latacunga le soir même.

    Nous reprenons notre route, direction Riobamba, ou plus exactement "Station Urbina". C'est un refuge appartenant à Rodrigo Donoso, andiniste passionné. Situé à 3 800 m d'altitude,  au pied du Chimborazo, le plus haut volcan d'Equateur, c'est une excellente base d'acclimatation à l'altitude. Nous comptons y rester quelques jours et y faire de la randonnée.

    Nous convenons avec le chauffeur du bus de nous laisser sur la route principale, le plus près possible du refuge. Nous effectuons le reste du trajet à pied.

    "Station Urbina" est une ancienne gare transformée en refuge par Rodrigo. C'est un point de départ afin d'effectuer l'ascension du Chimborazo, à 6 310 mètres d'altitude. Pour ce qui nous concerne, nous prévoyons d'aller jusqu'aux glaciers, et demandons à Rodrigo de nous procurer un guide.

    Par malchance, durant tout notre séjour à la "station", le Chimborazo ne se "découvrira" pas. Nous effectuons tout de même notre randonnée jusqu'aux glaciers aux environs de 4800 mètres d'altitude. 

    Il nous faut, à nouveau, continuer notre chemin. Nous voilà au bord de la route à attendre qu'un bus s'arrête pour nous amener à Riobamba, voire Cuenca, ce qui serait mieux. Nous n'attendons pas bien longtemps... Il suffit d'un petit signe, dès qu'un bus s'approche, pour que celui-ci s'arrête...

    Nous arrivons à Riobamba rapidement. Le temps de descendre du bus, et nous trouvons de suite un autre bus qui nous amène à Cuenca, dans le sud du pays.

    Cuenca est une ville coloniale agréable. Nichée dans une belle vallée, on sent que le niveau de vie est plus élevé qu'ailleurs.

    Cuenca a un riche passé culturel et intellectuel. Ses nombreux monuments, des 16ème et 17ème siècles, sont particulièrement bien conservés. Elle a été déclarée Patrimoine Mondial de l'humanité, par l'UNESCO, en 1999.

    Nous passons les deux jours suivants dans cette ville agréable, à nous promener dans les quartiers coloniaux, visiter les musées intéressants de la ville, ainsi qu'une fabrique de "Panamas".

     

     

     

     

     

     

    Nous nous dirigeons désormais vers Banos, station thermale réputée, aux portes de l'Amazonie.

    C'est petite ville calme est nichée dans un cadre montagneux verdoyant, mais sur les hauteurs, le volcan Tungurahua, en activité permanente, crache des nuages de cendres et menace de recouvrir la ville de lave.

    A notre arrivée, nous nous installons dans un petit hôtel familial, non loin de la gare routière.

    Banos est une ville qui dispose de plusieurs "bains" dont l'eau, aux propriétés curatives, provient d'une source du volcan Tungurahua. C'est également une ville dans laquelle il est agréable de flâner.

    Nous louons des VTT pour nous rendre à Rio Verde, à environ 20 kilomètres de Banos. La route, très belle, serpentant à flanc de montagne, est ponctuée de nombreuses chutes d'eau. Nous en profitons également, en cours de route, pour faire un petit tour de "tarabita".

    La tarabita est une nacelle qui sert, à l'aide d'un câble, à traverser des vallées ; ce système existait déjà à l'époque des Incas.

     
     
     
     
     
     
     
     
    A Rio Verde, nous laissons nos VTT pour aller faire une balade à pied jusqu'au "Chaudron du diable".
     
     
     
     
     
     

     

     

     

     

    A Banos, située à 1 800 mètres d'altitude, nous avons déjà commencé notre descente sur l'"Oriente". Nous reprenons un bus, le lendemain, afin de nous rendre à Tena en Amazonie. La végétation devient de plus en plus luxuriante...

    Nous avons l'intention d'aller plusieurs jours dans la "Selva", par l'intermédiaire d'une communauté indigène, "Ricancie". Une fois installées à Tena, nous nous préoccupons de trouver les indiens "Quichua" appartenant à la communauté indigène.

    Notre départ est finalement prévu le lendemain. Comme d'habitude, nous préparons quelques affaires, et laissons le reste à Tena jusqu'à notre retour. Après avoir effectué tous les achats de nourriture nécessaires à notre  séjour, nous partons avec 3 indiens en direction de "Chuva Urcu", en pleine forêt primaire, tout d'abord en véhicule, ensuite en pirogue, et pour finir à pied dans la forêt.

    Nous passons les 3 jours suivants dans la forêt, séjour bien agréable au bord d'une petite rivière où il est possible de se baigner, de pêcher, mais également de chercher de l'or ; promenades dans la forêt à la découverte de la végétation, mais aussi de tous les animaux et insectes qui la peuplent.... Nous organisons également une randonnée jusqu'au "Mirador" depuis lequel il est possible d'avoir une vue sur toute la forêt environnante.

     

     

     

     

     

     

     

    Notre voyage commence à toucher à sa fin. De retour sur Tena, nous reprenons un bus pour rejoindre Quito. Voyage un peu long ; le bus est arrêté par la police sur la route, et les bagages fouillés à la recherche de drogue...

    Le temps de faire nos derniers achats à Quito, et nous reprenons l'avion en direction de Paris.

    L'Equateur, encore un pays qui nous a beaucoup plu... Paysages andins splendides, marchés hauts en couleurs, mais également vallées luxuriantes... sans oublier nos bons contacts avec les équatoriens.

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    Compagnie aérienne 

    La Royal Air Maroc 


    Visa

    A prendre, avant le départ, en ambassade 

     


     Monnaie
    Le Franc CFA

     




     

     

    Nous sommes arrivées à Bamako fin juillet. Mariam nous attendait depuis un bon moment car l'avion avait du retard. 

    Mariam est une jeune femme "Peule" dont nous avons eu les coordonnées par une connaissance.

    Les "Peuls" constituent une ethnie présente dans environ 15 pays africains.    Au Mali, les "Peuls" sont principalement implantés dans la région de Mopti. Ils sont traditionnellement nomades et semi-nomades. 

    Nous passons donc notre première nuit au Mali, à son domicile à Bamako, et en profitons pour visiter la ville avec elle. 

    Le lendemain, nous prenons un bus en direction de Mopti, tout en ayant convenu avec elle de nous retrouver plus tard, durant notre voyage.

    Arrivée tôt le matin à Mopti. La ville dort encore... Nous souhaitons négocier des places sur une pinasse, afin de nous rendre à Tombouctou par le Niger.

    Nous trouvons finalement une pinasse de commerce qui doit partir dans la journée, et qui accepte de nous prendre à son bord moyennant une participation financière.

    Entre temps, les marchés se sont ouverts. Nous partons donc faire quelques achats en prévision de notre séjour de plusieurs jours sur la pinasse (nourriture, ustensiles de cuisine, nattes pour dormir).

    Nous apprendrons finalement que la pinasse ne pourra pas partir le jour même pour des raisons de moteur, et que notre départ est remis au lendement matin. Nous passons donc la nuit à quai, à bord de la pinasse. 

    Le départ se fait sans problème le lendemain matin. Les journées suivantes se passent donc tranquillement à bord de la pinasse à regarder le paysage, boire le thé en compagnie d'un jeune couple ainsi que d'Ali un jeune malien qui nous fait beaucoup rire...  


     

    Nous arrivons finalement à proximité de Tombouctou en pleine nuit, après plusieurs jours de navigation.

     


    Nous avons principalement logé chez l'habitant au Mali. 

    A Tombouctou, nous avons passé nos nuits, à la belle étoile, sur la terrasse de la famille  qui nous hébergeait. 

    "Tombouctou, la ville des 333 Saints", "Tombouctou, la mystérieuse", ce nom fait rêver... et nous avons hâte de voir cette ville.

    La légende raconte que Tombouctou s'est construite autour du puit d'une femme nommée "Bouctou". Les nombreux échanges entre le Maghreb et le Sahel africain firent sa prospérité. Cette dernière déclina quand la voie maritime entre l'Afrique du Nord et l'Afrique Noire fut ouverte. 

     Les jours suivants se passent à déambuler dans ses ruelles, tout en visitant les principales curiosités. 

      

    Nous reprenons notre route à destination de Gao, la cité des Askias. Tout d'abord en 4x4, ensuite en bus.   

    Nous roulons depuis un certain temps déjà, quand soudain, au milieu de la nuit, le bus s'arrête... Tout le monde descend, sort des nattes et s'endort dans le désert. Surprises, nous faisons de même.... 

    Au petit matin, le bus repart. Peu de temps après, nous arrivons au bord du Niger où le bus doit prendre le premier bac de la journée. Gao est maintenant toute proche.  

    A Gao, nous sommes à nouveau logées dans une famille. Fidèles à nos habitudes, nous dormons à la belle étoile. C'est bien plus agréable qu'une maison en "banco" dans laquelle la chaleur est étouffante. Mais nous souffrons tout de même de plus en plus de la chaleur. 


    Gao est l'ancienne capitale de l'empire Songhaï. Le tombeau des Askias, inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, a été construit en 1495 par Askia Mohamed, empereur du Songhaï.

    Visite de la ville, du tombeau des Askias et balade en pirogue jusqu'à la dune rose sont nos principales activités des jours suivants.  

     

    Départ pour Hombori en bus. C'est une très belle région. On se croirait au Far West...

    Nous allons en profiter pour faire un peu de randonnée.

    Nous trouvons, à nouveau, à nous loger chez l'habitant, et dormons à la belle étoile. On sent bien que, dans cette région, la température est bien plus agréable qu'à Tombouctou ou Gao, et avec un petit air frais, la nuit est très agréable. 

    Le lendemain matin, accompagnées d'un guide, nous partons faire de la randonnée aux alentours d'Hombori. Tôt le matin, la température est presque fraîche ce qui nous convient parfaitement...

    En début d'après-midi, nous allons jusqu'à la Main de Fatima, impressionnante paroi rocheuse, aux alentours de laquelle il est également possible de faire de la randonnée.
       

     

    Nous voici à nouveau sur la route, à destination de Mopti. C'est là que nous avons convenu de nous rencontrer avec Mariam. Nous avons prévu d'aller au pays Dogon ensemble. 

    Nous la retrouvons le lendemain matin. Elle est arrivée, par le bus, dans la nuit, à l'hôtel où nous avions rendez-vous. 

    Le temps de préparer quelques affaires pour les quelques jours que durera le trek, et nous partons pour Bandiagara.
    Le plus gros de notre sac à dos va rester à l'hôtel à Mopti. 

    Les Dogons, peuple du Mali, habitent une région montagneuse appelée "Falaise de Bandiagara". Ce sont, avant tout, des agriculteurs : mil, sorgho et riz. L'intérêt que présentent les Dogons tient à la grande richesse de leurs mythes et de leurs rites.

    Nous avons choisi de faire notre trek de Dourou à Kani Kombolé.

    Dourou se situe sur la falaise de Bandiagara. Nous partons donc à pied, en compagnie de Mariam, nous arrêtant dans les villages Dogon sur notre trajet. La randonnée est agréable et pas difficile du tout, d'autant plus que nous ne marchons pas aux heures les plus chaudes de la journée. Quelques heures après notre départ, nous commençons à descendre de la falaise pour aller visiter les villages de la plaine, Ende et Teli, entre autre. 

    Le soir, nous nous arrêtons dans des "campements" et y trouvons hébergement et restauration. 

       

    A la fin de notre trek, après être repassées à Mopti récupérer le restant de nos effets personnels, nous prenons la direction de Djenné. Cela tombe vraiment bien, nous allons arriver à Djenné la veille de jour du marché.   

    Djenné est construite entre deux bras du Bani, affluent du Niger, sur une île de 88 hectares. Pour la rejoindre, il faut emprunter un bac.

    Nous trouvons un hébergement à proximité de la place du marché et de la mosquée.  

    Le jour du marché, nous sommes de suite sur place, et assistons dès le début de la matinée à la mise en place de tous les étals. C'est un marché très coloré, et ce jour là tous les habitants de la région affluent vers Djenné. En milieu de journée, le marché est noir de monde.

     


    La grande mosquée de Djenné, plus grand monument de la ville, est vraiment superbe. C'est le plus grand édifice du monde construit en "banco". Mais hélas, elle n'est pas accessible aux non-musulmans. Il nous faut donc nous contenter de la contempler de l'extérieur

    Notre voyage commence à toucher à sa fin.  

    Nous reprenons la route, et après un court passage à Ségou, nous sommes de retour à Bamako.  

    Nous séjournons de nouveau chez Mariam. Quelques derniers achats dans les marchés de la ville, et nous nous envolons vers la France.  


    Nous garderons un bon souvenir de notre voyage au Mali, en premier lieu par la façon dont nous avons voyagé. 

    L'autre point important de notre voyage fut d'avoir fait la connaissance de Mariam que nous avons beaucoup appréciée. 
      

     

     

     

     

     

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    QUITO

    Nous avions réservé, par internet, depuis la France, à l'Auberge Inn - Av. Colombia - 1138 y Yaguachi  http://www.auberge-inn-hostal.com/

    Cet hôtel est situé à mi-chemin entre le Quito colonial et le Quito moderne (pratique pour se déplacer à pied). Il dispose d'un petit patio sur lequel donnent les chambres, ainsi que d'un bon petit restau.


    OTAVALO

    Nous étions à l'hostal Maria - Modesto Jaramillo y Colon, juste à côté d'une boulangerie. Bien, les chambres sont agréables, mais nous avons trouvé les alentours très bruyants la nuit.

    Il y a un petit restaurant, correct, dans la même rue un peu plus loin. 


    LATACUNGA

    Residencial Santiago - Dos de Mayo 720 y Guayaquil. Hôtel correct.

    Restauration : il y a un petit restaurant à proximité : Chifa Tokio. Correct. 


    RIOBAMBA

    "Station Urbina" se situe à 23 kilomètres au Nord de Riobamba, en pleine nature. Pour y arriver, il faut demander au bus de s'arrêter à l'embranchement du chemin qui conduit au refuge (ils connaissent). C'est un endroit sympathique dont le propriétaire est l'andiniste Rodrigo Donoso. Certaines chambres ont une vue sur le Chimborazo.


    Possibilité d'y prendre ses repas : dispose d'une grande salle à manger avec cheminée.

    Rodrigo organise, certains soirs, des soirées diapos...

    Il y a également possibilité de partir en randonnée à pied ou à cheval dans la montagne, de faire l'ascension du Chimborazo, etc... Nombreuses activités possibles. 


    CUENCA

    Nous étions à l'hôtel El Monasterio - Padre Aguirre 724 y Sucre, dans un immeuble donnant sur la place San Francisco. Très belle vue sur la ville.

    Au niveau restauration, de nombreux petits restaurants dans les rues avoisinantes.  


    BANOS

    Hostal El Rey - Oscar E. Reyes 9-32, à proximité de la gare routière. C'est un petit hôtel familial très propre.

    Restauration : De nombreux restaurants dans la rue principale, très touristique, de Banos. Pour ce qui nous concerne, nous avons préféré fréquenter des petits restaurants plus typiques, dans les rues perpendiculaires à la rue principale. 


    TENA

    Nous étions à la Residencial Austria - Tarqui y Diaz de Pineda. Cet hôtel très calme, dispose d'un petit jardin agréable. Chambres très bien et très propres. 


    DIVERS

    Communautés indigènes

    A San Clemente, près d'Ibarra, c'est la communauté indigène Pukyu Pamba http://www.sclemente.com/  Nous avons été reçues par Manuel et Laura, et leurs deux enfants Laura et Carlos. Séjour très agréable et très bien. Nous vous les recommandons.

     
     
    Pour l'Amazonie, nous sommes passées par la Communauté indigène "Ricancie" - Av. El Chofer y Hugo Vazco - Tena  http://ricancie.nativeweb.org/
    Possibilité de séjourner à différents endroits. Nous nous étions à "Chuva Urcu", dans la forêt primaire. Bien.
     


     Guide

    Nous vous recommandons Nestor Cueva - Antonia Vela y Padre Semanata 162 - Latacunga. Très bien. (parc national du Cotopaxi, entre autres). 


    Transports

    Il est très facile de se déplacer en équateur. De nombreux bus ; nous n'avons quasiment jamais réservé...


     

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    HEBERGEMENTS

    VIENTIANE :  Non loin du Mékong, dans une rue perpendiculaire à celui-ci, se trouve la Saysouly Guesthouse - 23, Manthathurath http://www.saysouly.com. Très bien.


    LUANG PRABANG
    : Au bord du Mékong, nous étions à la Chaliny Guesthouse - Ban Choumklong - Souvannabanlang Road -  Chambre assez grande et correcte.


    TAD LO
    : La Green House (appartient à la Sasay Guesthouse) est un petit chalet en bois, au bord de la rivière, en pleine nature, avec 6 grandes chambres, et un grand salon commun. Très bien et très tranquille.


    DON KHONE
    : Mr Bounh's Guesthouse - Petites maisons très simples, au coeur d'un petit jardin. C'est un endroit très tranquille.


     

     

     

     

     






    KRATIE
    : Le Santepheap - Bel hôtel situé juste en face de l'embarcadère. Très bien.


    PHNOM PENH
    : Narin II Guesthouse - 20, rue 111. Les chambres sont correctes. L'accueil est sympathique. Cet hôtel dispose  également un restaurant (repas corrects). 


    SIEM REAP
    : Nous étions à la Royal Angkor Villa (anciennement Villa Coconut Lodge) -
    N° 81 Phsar Krom Street - Vihear Chen Village -
    http://www3.online.com.kh/users/royalangkor .
    Nous y disposions d'une grande chambre. Guesthouse très bien et  bien située.


    BATTAMBANG
    :  Dans la rue en face du marché, se situe le Royal Hôtel . Celui-ci comprend des chambres de bon confort. Possibilité de restauration.

     


    RESTAURATION

    LUANG PRABANG : Ville touristique, donc de très nombreux petits restaurants.


    TAD LO 
    : Nous avons souvent fréquenté le Tim's Restaurant (C'est également une source de renseignements sur la région).


    DON KHONE
    : Mr Bouapanh Restaurant - Il est situé juste en face de la Guesthouse de Mr Bounh's. La patronne est sympathique et très serviable.


    PHNOM PENH
    : Chez Mama - 22A, rue 111 juste à côté de la Narin II Guesthouse. C'est un petit restaurant familial où l'on sert une bonne cuisine à prix modérés.


    SIEM REAP 
    : Nous sommes très souvent allées  chez China Mama's - Phlauv Sivatha. Grands choix de plats, accueil très sympathique et personnel très agréable. Les prix sont également modérés. 

     


    TRANSPORTS

    Au Laos, nous avons principalement utilisé des bus (VIP), voire des petits bus bâchés en fonction de la région.






     

     

     


     


    Au Cambodge, en fonction de l'état  des routes, il peut être plus facile de voyager en bateau rapide, quand cela est possible (Mékong, Tonlé Sap). Nous avons donc peu voyagé par route.


     

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            Compagnie aérienne

    Emirates

    Visa

    Possibilité de l'obtenir à la frontière

    Monnaie

    Le Kip

     

     

     

    L'avion amorce sa descente. Dans quelques minutes, nous allons atterrir à Bangkok.

    Les formalités de douanes accomplies, nous nous rendons à Mo Chit, la gare routière Nord de Bangkok, avec l'intention d'y prendre un bus VIP qui nous mènera à Nong Khai à la frontière laotienne.

    A vingt heures, nous prenons place dans le bus. Les sièges sont très larges et font couchettes. On nous distribue une couverture, un petit oreiller ainsi que de quoi "grignoter" et boire, puis nous partons.

    Il est prévu que nous arrivions à Nong Khai très tôt le lendemain matin.  Confortablement installées, nous somnolons déjà, alors que le bus n'a pas encore quitté Bangkok...

    A Nong Khai, après un rapide petit-déjeuner, nous prenons un tuck-tuck afin  de nous rendre au "Pont de l'Amitié". Nous avons prévu de prendre notre visa directement à la frontière, ce qui se fait sans problème et très rapidement. Nous arrivons à Vientiane en milieu de matinée.

    Nous nous installons dans une guesthouse à proximité du Mékong et passons l'après-midi, ainsi que le jour suivant, à visiter la ville.

    Vientiane est la capitale du Laos, mais, peu étendue, elle ressemble plus à une ville de province. Les abords du Mékong sont vraiment peu aménagés. Les principales curiosités à visiter sont des monuments religieux appelés Wats au Laos.

     

    En fin d'après-midi, nous nous rendons à la gare routière de Vientiane afin d'y réserver notre trajet de bus  pour Luang Prabang.

    Nous partons très tôt le lendemain matin. La route est longue, mais vraiment très belle. Nous arrivons à destination en fin d'après-midi. Nous nous installons dans une guesthouse au bord du Mékong. 

    Luang Prabang fut la capitale du royaume du Laos jusqu'en 1563, date à laquelle le roi décida de s'établir à Vientiane. C'est la ville la plus chargée d'histoire et la plus riche en monuments religieux du Laos. Elle est classée au patrimoine mondial de l'humanité de l'UNESCO depuis 1995. 

    Luang Prabang regorge de Wats, tous aussi beaux les uns que les autres.  

     

    Nous faisons également "l'ascension" du Mont Phousi, d'où l'on jouit d'un beau panorama sur la ville ainsi que ses principaux édifices. 

      

    Il y a beaucoup à faire à Luang Prabang et dans ses environs ; nous en profitons pour organiser  quelques excursions :

    • Les grottes de Pak Ou. Creusées dans une falaise calcaire, au bord du Mékong, leur accès se fait par le fleuve et le trajet pour y arriver constitue une promenade agréable. C'est un lieu de pélérinage ; lors des fêtes du Nouvel An, on y apporte des statues, d'où leur nombre important (4 000).  Mais ceux qui connaissent Pindaya en Birmanie seront déçus...  

     

      

     

    • La cascade de Tad Kouang Si. On y accède en Tuck-Tuck. De belles rizières sur le trajet. C'est un endroit agréable et la chute d'eau est très belle. Il est possible d'emprunter un sentier latéral pour accéder en haut de la chute.  

     Après quelques jours passés à Luang Prabang, nous reprenons notre route. Retour sur Vientiane, puis continuation vers Paksé, plus au sud. 

    Arrivée à Paksé très tôt le matin. Il nous faut téléphoner à la Compagnie Emirates à Bangkok afin de confirmer notre vol de retour. Nous en profitons également pour faire un petit tour de ville, mais le temps n'étant  vraiment pas au beau fixe, nous nous dirigeons finalement vers la gare routière, en espérant que cette pluie se calme...

    Nous prenons un bus pour Tad Lo, village situé en bordure du plateau des Bolovens. Tad Lo est surtout connu pour ses belles chutes d'eau. Le bus nous dépose au bord de la route. Il nous reste 2 kms à faire à pied pour rejoindre le village.

    Nous trouvons à nous loger dans un petit chalet en bois, au bord  de la rivière Xe Xet, non loin des chutes. C'est un endroit très agréable en pleine nature.  Nous passons plusieurs jours à Tad Lo. Les possibilités de balades sont nombreuses, notamment à dos d'éléphant.

    Nous voici à nouveau sur la route. Nous nous rendons à Champassak, au bord du Mékong, où se trouve le Wat Phou.

     Le Wat Phou, berceau de la civilisation Khmère, est un temple qui date des 5ème et 6ème siècles. Il est antérieur d'au moins 200 ans aux temples d'Angkor. Le Wat Phou est classé au patrimoine mondial de l'humanité depuis 2002.

     Nous nous approchons peu à peu de la frontière cambodgienne. Nous séjournons désormais à Don Khone, une île faisant partie des "4 000 îles" au sud du Laos, au beau milieu du Mékong.

    A cet endroit, le Mékong, d'ordinaire calme, est ponctué de rapides et chutes d'eau spectaculaires : Li Phi et Khong Phapheng, entre autres.

    Le Mékong à perte de vue.... C'est impressionnant.

    Nous visitons l'île de Don Khone, ainsi que sa voisine Don Det, reliées entre elles par un pont, ancienne ligne de chemin de fer construite par les Français afin de contourner les écueils et les rapides du Mékong à cet endroit là.

     Il fait très beau et les balades dans les rizières, ainsi qu'au bord du Mékong, sont vraiment très agréables.

     

    Après ces quelques jours passés au milieu du Mékong, nous poursuivons notre voyage. D'ici peu de temps, nous serons au Cambodge. La frontière est toute proche, mais elle est théoriquement fermée aux étrangers...

     Tôt le matin, nous quittons Don Khone afin de rejoindre "la terre ferme". Nous y prenons un Tuck-Tuck qui va nous rapprocher du poste de douane laotien...

    "C'est Dimanche, vous devez payer 3 $ par personne pour passer la frontière...".

    Après avoir acquitté notre "dû" au douanier, nous quittons le Laos.

     

     

     

     

     

     

    Cambodge

     

    Visa

    Pris en ambassade avant le départ. Possibilité de l'obtenir à certains postes frontière

    Monnaie

    Le Riel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Nous reprenons une pirogue pour traverser le Mékong, et atteindre le Cambodge.

    Nous avions pris soin de faire faire notre visa à Paris avant le départ, car sur place, il n'est pas délivré par tous les postes de douane.

    Après avoir tamponné nos passeports, le douanier Cambodgien nous lance un :

    "Bienvenue au Cambodge"

    et nous pénétrons au Cambodge.

    Ils sont là à nous attendre... Nous en avions entendu parler. Nous les savions durs à la négociation... Et ce fut effectivement difficile. 

    Seul moyen pour nous de rejoindre rapidement, par le Mékong, Stung Treng la ville la plus proche, nous empruntons donc  un bateau "hors-bord" qui va nous amener à destination.

    Vraiment rien de bien particulier à Stung Treng, ville frontière située à une quarantaine de kilomètres du Laos. Nous ne nous y attardons pas.

    Le lendemain, tôt le matin, nous reprenons un bateau express en direction de Kratie. C'est la solution la plus aisée pour circuler en saison des pluies, car les routes sont souvent défoncées...

    Kratie est une petite ville bien agréable : balades le long du Mékong, dans les marchés de la ville, dans les rues aux vestiges coloniaux. Dans le courant de l'après-midi, nous organisons une petite virée en motodop au nord de la ville afin de voir les dauphins de l'Irrawady, ou dauphins d'eau douce. Et, nous en avons vus... Très jolis paysages également.

    Pour rejoindre Phnom Penh, nous décidons de prendre un bus ; la route a été récemment refaite, et le bus circule bien. En chemin, alors que nous sommes arrêtées dans une gare routière, nous apercevons des petits vendeurs proposant de la nourriture sur des plateaux aux voyageurs..., de couleur noire, bizarre à première vue... Un homme en achète, en ayant pris soin de bien choisir, monte  dans le bus, s'installe non loin de nous, et commence à manger. Cela croque sous la dent... Ce sont des araignées...

    Peu de temps après, nous arrivons à Phnom Penh.

    Après nous être installées à l'hôtel, nous partons faire un petit tour de ville, et commençons déjà à prendre nos repères pour le lendemain.

    Les visites du Palais Royal, de la Pagode d'argent, du musée Tuol Seng, des différents marchés de la ville,  ainsi que promenade le long du fleuve sont nos principales activités du jour suivant.

     Nous poursuivons notre voyage : direction Siem Reap et les fameux temples d'Angkor qui se trouvent à proximité. Nous en rêvions depuis longtemps...

    Depuis Phnom Penh, nous prenons à nouveau un bateau express qui remonte le fleuve Tonlé Sap, traverse le lac du même nom, et nous amène à Siem Reap, où nous nous installons pour une bonne semaine. Pour nous rendre aux temples d'Angkor, nous nous arrangeons avec un chauffeur de Tuck-Tuck : il viendra nous chercher tous les matins et nous véhiculera sur les différents sites.

    Ancienne capitale de l'empire Khmer, Angkor est un des joyaux archéologiques asiatiques. S'étendant sur 400 km2, couverts en partie par la forêt, les temples d'Angkor, d'une grande beauté, sont classés au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO depuis 1992. 

    Angkor Vat, Angkor Thom, Ta Prohm, le Baphuon, Phnom Bakeng, la Terrasse aux éléphants... font partie de nos premiers jours de visite. Il y a beaucoup de monde sur le site, mais nous arrangeons pour inverser certaines de nos visites afin d'en rencontrer le moins possible, et profiter ainsi au mieux de tous ces temples..

     Nous avons prévu de rester une semaine à Siem Reap. Cela nous laisse le temps de faire une petit "break" d'une demi-journée afin de retourner aux abords du lac Tonlé Sap.

    Le Tonlé Sap est le plus grand lac du Cambodge. C'est un des lacs les plus riches du monde en poissons. Il est d'une importance capitale pour le Cambodge. Il abrite de nombreux villages lacustres.

     Nous reprenons notre visite du site d'Angkor. Certains temples sont plus éloignés : Roluos, Banteay Srei...

    Il est temps pour nous de quitter ce merveilleux site d'Angkor ; direction Battambang, toujours en bateau car c'est une solution plus agréable que la route.

    Nous retraversons une petite partie du Tonlé Sap, puis le bateau s'engage sur la rivière Sangkei, faisant des haltes ça et là pour prendre ou débarquer des passagers. Cela nous donne l'occasion d'assister à la vie locale aux abords de la rivière.  C'est très intéressant. 

    Court passage à Battambang qui nous permet tout de même de flâner un peu dans la ville. C'est en taxi collectif que nous nous dirigeons vers Poipet, le lendemain en fin de matinée. Ville frontalière vraiment peu séduisante, nous ne nous y attardons pas.

    Nous passons la frontière Thaïlandaise, et prenons directement un bus en direction de Bangkok, où notre vol international est prévu le lendemain soir.

    Un nouveau voyage se termine... L'Asie est une partie du monde que nous aimons particulièrement, et ce voyage a, à nouveau, été très riche en paysages, visites, et rencontres, notre plus grande satisfaction ayant été la visite du site d'Angkor.  

     

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